Confidences de maman : la joyeuse tribu d’Elise Hattab, associée chez Louis Louise

Quatre enfants, un grand sourire et beaucoup d’énergie : juste avant de passer le cap des 40 ans, Elise est devenue maman pour la quatrième fois et semble être entrée dans son plus bel âgeRésultat, elle savoure chaque moment avec Elena, 14 ans, Joseph, 11 ans, Elie, 10 ans, et Hannah, 11 mois. Avec la complicitéde Stokke, cette joyeuse tribu sest prêtée au jeu dune séance photo, le temps de nous raconter comment chacun occupe sa place dans la famille.

 

Derrière la jolie griffe Louis Louise, qui fêtera ses dix ans cette année, se trouve une bande de mamans inspirées et débordantes d’énergie. Elise en fait partie, attachée comme au premier jour au style parisien, romantique et moderne qui fait le succès de la marque en France et à l’étranger. Parisienne pure souche, co-entrepreneur et maman de quatre enfants, Elise gère ses trois ados et son bébé de main de maître. Elle nous accueille chez elle un mercredi à l’heure du goûter, juste après la séance de boxe des plus grands et la sieste d’Hannah.

 

Lhistoire de Louis Louise est-elle intimement liée àta vie de maman et àla naissance de tes enfants ?
Oui, en quelque sorte. J’ai fait la connaissance de Julie Meiler, la créatrice de Louis Louise, lors de son premier salon, j’étais attachée de presse et jeune maman enceinte de mon second. J’ai tout de suite senti qu’il y avait une belle histoire avec cette marque et j’ai rejoint le navire quelques années plus tard pour l’ouverture de la première boutique. Depuis dix ans, Louis Louise a grandi avec Louise, la fille de Julie, et avec mes enfants, qui ont porté à peu près toutes les collections… Hannah ne déroge pas à la règle évidemment !

Avoir quatre enfants àParis, certains diraient que cest de la folie
Oui c’est peut être un peu de la folie, c’est ce que je me dis parfois ! Mais ce qui est parfois dur dans le rythme de maman à Paris est aussi ce que j aime le plus : une vie remplie, des grandes tables, des cris, des joies et des disputes ! 

Est-ce que tu as toujours voulu avoir quatre enfants ?
J’en voulais au moins trois. Chez moi on était trois filles… J’ai eu les trois premiers avant mes 30 ans, et à 39 ans, j’ai eu envie du petit dernier, comme un cadeau. Je redécouvre avec Hannah le plaisir du premier, c’est très différent, on a plus de temps et de bras pour nous aider, je savoure, le papa et les enfants aussi.

Comment as-tu choisi leurs prénoms ?
Pour ma fille aînée cela a été un vrai casse-tête et elle n’a eu un prénom que 3 jours après sa naissance ! Nous sommes finalement revenus sur notre première intuition : Elena. Pour les garçons c’était fluide, je tenais vraiment au prénom Joseph, puis mon mari adorait Elie. Pour Hannah, c’était un prénom que j’aimais depuis longtemps, dès la naissance d’Elena j’avais dit que si la prochaine était une fille, ce serait Hannah. Elle a mis du temps à venir !

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Quelle est ton arme secrète pour rester zen au milieu de trois ados et dun bébé?
Une  super nounou au quotidien, ma maman qui habite tout près et surtout beaucoup d’amour ! Le plus dur à gérer a été la période où les garçons – qui n’ont qu’un an d’écart- étaient bébés et Elena n’avait que 4 ans, c’était à la fois une merveilleuse période, peut-être la plus belle, mais très fatigante. Les petites maladies, les dents, le stress multiplié par trois… Pour rester zen je marche beaucoup au feeling avec mes enfants, ils sont tous les quatre très différents, donc j’essaie d’être à l’écoute de chacun.

Du premier au quatrième, chaque naissance est très différente et nécessite adaptations et ajustements dans la famille Avec le recul, comment as-tu vécu ces différentes étapes ?
L’arrivée d’un premier est forcément un chamboulement énorme, il y a la vie d’avant et celle d’après… Pour moi le grand bouleversement a été de gérer cette dose d’amour, c’est tellement fort ! Le passage de un à deux a suscité la jalousie d’Elena qui avait pris un peu ses habitudes ! Mais très vite cela est passé, les garçons sont très rapprochés donc un peu comme des jumeaux, et la petite Hannah arrivée bien plus tard a été accueillie à bras ouverts par les plus grands, trop grands déjà pour être jaloux, au contraire ils rêvaient d’avoir une petite sœur à chouchouter.

Quest-ce qui te touche dans la relation quils construisent entre frères et sœurs ?
Mes garçons sont très liés, parce que très proches en âge, ils prennent soin l’un de l’autre, cela me touche beaucoup. Avec Elena ils ont beaucoup joué et partagé de choses, mais maintenant qu’elle devient ado leurs centres d’intérêts ne sont plus les mêmes, ils se disputent un peu plus. En revanche dès qu’il le faut ils restent solidaires !

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Autour de la table familiale, à quoi ressemble ta chaise Tripp Trapp personnalisée ? A-t-elle été adoptée par les enfants ?
Pour la gravure, j’ai choisi HANNAH, le prénom de ma petite dernière bien sûr… J’adore ce prénom avec cette orthographe hébraïque. Dans la famille, on aime le moment du petit-déjeuner et grâce à sa chaise Hannah partage ce moment avec nous. Elle se sent au même niveau, elle adore ! Avant elle tenait 5 minutes dans sa chaise haute… J’adore cette chaise car elle évolue vraiment avec l’enfant, il peut s’en servir très longtemps. Les garçons la lui piquent dès qu’ils le peuvent d’ailleurs. Son design est top, comme ma cuisine est ouverte sur le salon c’est important qu’elle se fonde dans la pièce…

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Article réalisé  avec notre partenaire, Stokke.
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édit photo : Belly Balloon Photography pour Les Louves.

 M. D.

 

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