C’est, avec le sommeil, la préoccupation n°1 de tout jeune parent : l’alimentation. Votre petit refuse de manger autre chose que de la purée de pommes de terre ? Depuis qu’il a découvert les coquillettes, il rechigne devant tout autre aliment ? Pour éviter que chaque repas ne vire à la confrontation et lui donner le goût des bonnes choses dès le plus jeune âge, suivez le guide, créé avec la complicité de Popote, la gamme de bébé food 100% bio qui vous aide à composer des menus savoureux et variés.
1. Donner l’exemple et faire des repas un moment réjouissant
Ce n’est pas un secret : les enfants grandissent en nous imitant. Même si vous avez l’habitude de dîner en décalé, parce que votre conjoint rentre tard du boulot par exemple, n’hésitez pas à vous attabler avec votre petit et à prendre l’apéro avec lui. En montrant l’exemple, en faisant du repas un moment d’échange chaleureux, se nourrir n’est plus une contrainte qui prive d’un temps de jeu, mais devient un plaisir à partager.
2. Le laisser manger seul (avec les doigts s’il le faut !)
Armez-vous d’un bon bavoir et d’une petite dose de patience car vous avez bien lu : pour découvrir un nouvel aliment ou déguster son légume préféré, votre tout-petit a besoin de toucher, de tripoter, de triturer, bref… de s’en mettre partout. Sentir l’odeur, la température, la texture d’un brocoli cuit à la vapeur est pour lui la meilleure manière de le découvrir et, au passage, d’aiguiser ses sens. Aux yeux des enfants, il est plus ludique et plus facile de manger avec les doigts qu’avec des couverts. Cependant, n’hésitez pas à laisser à portée de main une cuillère ou une petite fourchette…
Manger avec les doigts est possible pour un petit qui se tient bien assis ou dès l’âge de 9 mois, lorsqu’il acquiert le réflexe de mastication. Proposez des aliments de la taille de son poing afin qu’il puisse croquer dedans à sa guise.
Si votre enfant est plus petit, à l’heure de la diversification alimentaire par exemple, ou s’il apprécie les aliments mixés, pensez aux gourdes façon Popote : elles permettent à l’enfant de gagner en autonomie et sont dotées d’un ingénieux système de bec anti-fuite.
3. Inciter, insister… mais ne pas forcer
Les spécialistes de la nutrition estiment qu’il faut parfois goûter 10 ou 15 fois un aliment avant de l’apprécier. Si votre enfant, tout petit ou un peu plus grand, rechigne devant un haricot vert, inutile de le forcer, au risque de le braquer. En revanche, n’hésitez pas à lui re-proposer plusieurs fois, de manière régulière. Petit à petit, l’aliment devient familier et on se fait à son petit goût si nouveau. Lorsqu’un peu plus tard peuvent apparaître les « néophobies » alimentaires (le rejet d’un aliment que l’enfant acceptait auparavant), on peut adopter la même attitude. Sans pression, on ne baisse pas les bras si l’on juge l’aliment bon pour la santé de notre bébé et qu’on aime l’intégrer à nos menus !
4. Laisser le choix à l’enfant
Votre petit préfère commencer son repas par un yaourt ou veut mélanger sa compote de pommes à son poulet mixé ? Après tout, les adultes ne détiennent pas le monopole du bon goût et votre enfant n’est pas à l’abri de découvrir une alliance de saveurs intéressante.
Peut-être avez-vous tout tenté pour l’inciter à goûter de chaque aliment mais votre enfant refuse de manger… Laissez-le choisir ce qui l’inspire, sans pour autant doubler la ration de dessert s’il n’a pas touché à son plat. S’il n’a rien mangé après une vingtaine de minutes, débarrassez son assiette, sans réprimande ni commentaires particuliers… Les enfants ne se laissent pas mourir de faim et sauront se rattraper au prochain repas. Veillez à composer des assiettes toujours équilibrées et variées afin qu’il apprenne à puiser dans chaque famille d’aliments.
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Réalisation : Popote x Les Louves